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Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever

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Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Empty
MessageSujet: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 0:09

 
SydneyWallaceFt. Laura Prepon
Syd25 décembre 1980Lancaster, PennsylvanieAméricainesSan DiegoPropriétaire de Wallace Harley-DavidsonVeuveHétérosexuelleSympathy for the devil

Mon caractère? Ma psychologue en taule vous dirait que j’ai une forte estime de moi et que je pallie à un manque d’amour paternel en traînant avec des gens peu recommandables. Foutaise! Je suis une survivante. J’ai enduré plus dans ma vie qu’une femme au foyer de Los Angeles dans toute sa putain de vie. Je suis une femme déterminée et avec une volonté de fer. Lorsque je veux quelque chose, je fais tout pour l’obtenir mais je reste pragmatique. Je suis fortement rancunière et violente, mais je ne vous apprend rien. Il faut croire que la prison à renforcer ce côté de ma personnalité. Lorsque j’aime profondément, je n’ai aucune limite mais il n’y a que Rob qui a connu ce côté de moi. J’adore le sarcasme que je maîtrise à la perfection. Rien de mieux qu’un jeu de mot à double sens pour faire douter une personne comme une pauvre brebis égarée. Je suis travaillante et méthodique. Je n’aime pas le travail bâclé et mes employés le savent. Aucun passe droit et billet médical requis sinon c’est dehors. Sinon, je ne fais pas facilement confiance aux gens. Seulement quelques personnes ont se privilèges et elles se connaissent.  

Anecdotes
- Je viens d’une famille Amish qualifié de old order. En gros, ils refusaient le progrès technique et il n’y avait pas l’électricité à la maison. Mon nom était alors Tryphena Struhbar.

- Je ne suis jamais retourné en Pennsylvanie après être partie un beau soir et vous savez quoi? Je me sens parfaitement bien ainsi.

- J’ai gardé l’alliance que Rob m’avait offert. Elle est dans mon cou après une chaîne en or avec une croix. Cette chaîne est précieuse car elle appartenait à ma grand-mère. C’est le seul objet que j’ai gardé de ma première vie.

- Je me suis mariée à Robert Wallace dit Rob, le président des Irons Brotherhood avant Crom Martigan le samedi 5 juillet 2003. Ce fut la plus belle journée de ma vie et sans aucun doute la plus bruyante.

- Après la mort de notre bébé, je me suis fait volontairement ligaturer et retirer les trompes. Plus jamais, je ne veux plus avoir d’enfants et ce, peu importe l’homme que j’aurai dans ma vie.

- Je suis allergique aux abeilles ainsi qu’aux guêpes.

-Je porte des lunettes pratiquement toujours et sinon j’ai des verres de contacts. Ma vision est vraiment nulle.

- J’ai mon permis pour conduire une moto, mais je préfère être passagère. Je trouve ça nettement plus sexy.

- Rob m’a laissé plusieurs choses après sa mort. Sachant que je n’étais pas une fainéante, il m’a laissé son concessionnaire de Harley-Davidson, le Wallace Harley-Davidson. J’ai également hérité d’une jolie maison et d’une somme d’argent que je n’ai toujours pas touché.

- J’ai été en prison de  novembre 2013 à novembre 2019 au San Diego County Women’s Detention Facility.

- Crom est venu me rendre visite en prison à quelques reprise. Sans doute en mémoire de Rob, mais je lui en suis reconnaissante. Je lui dois donc quelques services et je n’en ai pas honte. Il détient également la seconde clef du Wallace Harley-Davidson ainsi que tous les codes d’accès. Pourquoi lui? Ça me regarde.

- Je n’ai pas honte de dire que j’ai couché avec des femmes en prison. Un besoin reste un besoin tout simplement et un orgasme reste un orgasme. Brouter un minou pendant dix minutes une fois par semaine quand t’as rien à foutre ne fait pas de toi une lesbienne systématiquement.

Pseudo : July
Prénom : Julie
Âge : 30 ans
Pays : Québec, Canada
Fréquence de connexion : Chaque jour ou presque
Inventé ou scénario : Inventé
Commentaires : Dernier compte et bien heureuse ici
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Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Empty
MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 0:09

Tell me a story
Lancanster et la secte ou appelez ça comme vous voulez...

Ma date de naissance c’est vraiment de la merde. Noël… Je n’en avais pas trop conscience lorsque je vivais chez mes parents. Ils me disaient que j’étais béni pour être né la même journée que Jésus. Ouais bah Jésus je l’avais profondément dans le cul et je l’ai toujours dans le cul aujourd’hui. Ce petit connard et Dieu n’ont jamais fait grands choses pour moi comparativement à des êtres humains tangibles. Plus rien à foutre de la bible et de l’église. C’est des putains de conneries en barre et je sais parfaitement de quoi je parle.

Amish … Ils disaient que c’était de religion mais en fait c’était plutôt une secte de merde. Pas d’électricité, pas de technologie et des mariages arrangés. J’ai seulement compris l’étendu de la chose lorsque j’avais quatre ou cinq ans. J’étais assise à l’arrière de la charrette de mes parents. Ma mère avait mon petit frère dans les bras alors que mon père négociait un truc. Je ne me souviens plus du tout ce que c’était mais je sais que les gens qui passaient nous prenaient en photo comme si nous étions des extra-terrestres. Ça rendait mon père fou et ensuite nous ne retournions plus en ville durant plus de six mois. Je restais donc à la maison où ma mère s’occupait de mon éducation de fille. J’apprenais la couture, l’art de la lessive et du ménage, la cuisine et comment être une bonne future épouse. J’allais également à l’école, mais je rêvais de voir ce qu’il y avait ailleurs. Un soir, alors que j’avais dix ans, j’étais allé à la pompe chercher de l’eau. J’étais une petite fille aux cheveux noir jais et à la peau pâle, mais on voyait rien de ça sous mon bonnet. J’entendais mon grand frère rire avec sa petite amie. Ils s’amusaient près d’un arbre et il lui parlait de ce qui se passait ailleurs. Lui, il était un homme et il pouvait aller en ville comme il le voulait. Je l’écoutais avec attention. Il voulait partir avec elle après le mariage. Sa petite amie ne voulait pas trop. Elle disait que la vie était parfaite ici loin des tentations du diable.

Je décidais alors qu’un jour, j’irais vivre dans ce monde. J’irais vivre ailleurs et je me sauverais. Je préparais donc tranquille un sac avec mes choses à l’intérieur. Je devais être prête lorsque le moment serait venu. La veille de mon départ , le 16 août 1996, j’étais à une fête dans la grande grange avec pratiquement tout le village. Il y avait de la danse et du chant. Je m’amusais autant que possible en sentant le regard de mon cousin sur moi. Il faut dire que j’avais déjà l’air d’une femme et j’avais entendu mes parents dire que je devrais bientôt me marier … avec lui. Il me dégouttait profondément. Sur le chemin du retour vers la maison, il me suivait jusqu’à me pousser dans un buisson. Il tentait de me retirer mon bonnet et relever ma robe. Je paniquais. Hors de question de me laisser faire. Je l’avais frapper dans les couilles avant de me mettre sur lui. J’avais pris une roche pour le frapper au visage. J’ai frappé … frappé et frappé sans fin jusqu’à me rendre compte qu’il ne bougeait plus du tout. Je m’étais relevé en panique avant de partir en courant chez moi. Là, j’avais lavé son sang de sur moi et de mes vêtements. J’ai frotté comme une malade en pleurant et en me disant que je ne pouvais plus continuer ainsi.

C’était donc dans la nuit du 17 au 18 août 1996, du haut de mes seize ans que je partais au milieu de la nuit de chez mes parents en passant par la fenêtre. On soupçonnait les yankees d’avoir tuer mon pauvre cousin alors que je savais exactement que c’était moi qui l’avais fait. Je n’en avais pas le moindre remord par contre. Sur la route, je retirais mon bonnet blanc pour laisser mes cheveux noirs libres. Je marchais ensuite un moment avant de trouver un endroit pour me changer. J’enfilais un jeans que j’avais volé lors d’une sortie en ville ainsi qu’un t-shirt. J’avais même volé des magazines en cachette pour rêver un peu. Je faisais du stop comme je pouvais lorsque j’étais accostée par une voiture de police. J’étais immédiatement amené au poste de police. Je refusais de répondre à leurs questions. Le problème étant que je n’avais pas d’identité réel dans le système. Ils comprirent rapidement en fouillant mes effets et en voyant ma robe que j’avais mise dans mon sac. J’étais alors prise en charge par le système et la protection de l’enfance. J’avais même le droit de choisir mon nouveau prénom et nom. Je décidais de m’appeler Sydney Rose.

J’étais complètement dépassée en étant transférée dans un centre pour adolescentes délinquantes. Certaines avaient des soucis de consommations, certaines avaient été violées et d’autres abandonnées. J’écoutais les histoires et c’était là-bas que je fumais mon premier joint en cachette lors de ma première fête de l’indépendance américaine l’année suivante le 4 juillet 1997. Je me fichais des cours car j’étais nulle à l’école. Je savais lire et écrire, c’était amplement suffisant pour moi. Étrangement, je ne jetais pas ma bible et mes anciens vêtements. Je les gardais précieusement dans un sac que je traînais avec moi. Il faut dire que j’étais parfaitement influençable à l’époque. Une toile vierge des plus naïves et malléables. À 18 ans, nous étions jeté dans la rue sans la moindre ressource. Une amie de l’époque traînait avec des types louches et nous avions décidé de nous enfuir pour vivre la grande vie.

San Diego et Robert Wallace dit Rob

C’était beau cette utopie qui nous habitait à propos de la liberté et tout ce qui venait avec. J’arrivais donc à San Diego après quelques année sur la route. C’était en 2002. J’avais 22 ans et nous étions le 4 juillet. Le jour de l’indépendance américaine. C’est donc ce soir-là que je le croisais lui pour la première fois : Robert Wallace dit Rob, le président des Irons Brotherhood de San Diego. J’ignorais tout du monde des bikers et les règles les entourant. Je savais simplement que quelque chose de fort se dégageait du regard de cet homme qui avait plus du double de mon âge. Nous avions trente ans d’écart mais cela ne l’empêcha pas de s’approcher de moi pour m’offrir une bière avec son beau cuir sur le dos. J’étais sous le charme et il me demandait ce qu’une belle fille comme moi pouvait bien faire seule. Il faut dire que mes jeans étaient vachement usé tout comme mon chandail. Il n’a pas fallu grand temps pour qu’il me demande à monter derrière lui avant de m’amener dans une chambre d’hôtel pour baiser intensément.

Pourquoi je me souviens clairement de ce moment? Car lorsque je m’étais levée pour remettre mon soutient gorge il avait glissé une main dans mon dos en me demandant si j’avais un endroit où dormir cette nuit et un boulot. Je ne lui avais pas menti. Je n’avais rien devant moi en dehors du sac-à-dos que je traînais et un second sac dans une piquerie qui n’avait rien de glorieux, mais qui m’évitait de dormir sous la pluie. Je consommais un peu de marijuana mais rien d’autre. Il m’avait alors regarder avec ses yeux verts en me donnant une carte d’affaire. Il me demandait de passer demain avec mes choses. J’étais partie en regardant la carte dans mes mains. Étrangement, je me sentais bien avec lui, mais je ne prenais pas conscience dans quoi j’allais mettre les pieds. Je suis rentrée à la piquerie et j’ai regardé les gens autour de moi. Je me disais que je ne perdais rien. Le lendemain après-midi, je me présentais au Wallace Harley-Davidson. Je voyais quelques types avec le même cuir. On me regardait un peu de travers et j’allais au comptoir de l’accueil pour demander à voir Robert. La surprise sur le visage de la bimbo en avant (que j’ai fais virer quelques années plus tard en passant) avant qu’elle n’appelle dans le bureau de son patron. Robert était venu me voir avec le sourire et il m’appelait directement Syd. Je montais avec lui alors qu’il m’offrait un job en fumant une clope.

J’ai donc commencé à bosser pour lui comme commis aux pièces. Je ne connaissais rien aux motos, mais je m’adaptais bien et puis c’était assez facile de rentrer le numéro de modèle dans l’ordinateur et faire les commandes. J’aimais bien ce petit boulot. Je me sentais à l’aise. Un soir, Rob venait me voir. J’étais là depuis quatre mois et il m’invitait à venir prendre un verre chez lui. J’avais pris la peine de me renseigner et écouter. Les Irons Brotherhood étaient un club de bikers avec une sacré réputation et ils avaient l’habitude de traîner dans des combines louches. Qu’est-ce que je pouvais en avoir à foutre en fait? J’avais vingt-deux ans et je souriais à la vie enfin. J’avais de l’argent et un petit appartement de une pièce. Je suivais donc le président des Irons Brotherhood chez lui et je n’étais plus jamais repartie. Quelque chose d’inexplicable était né entre nous, si bien qu’il me demandait en mariage un mois plus tard. C’était rapide et intense. Nous nous sommes mariés le 5 juillet 2003 un an après notre rencontre. C’était l’amour fou même si je pouvais sentir le parfum de d’autres femmes sur lui par moment. Je fermais les yeux tant qu’il ne me ramenait pas une autre femme à la maison.

J’étais donc devenu la femme du président à vingt-deux ans. À peine sortie de la majorité et déjà mariée. Je n’avais aucun idée des tâches qui m’incombait en tant que régulière comme on les appelait. Je comprenais seulement que je représentais Rob et que je devais faire bonne figure, ce que je faisais au mieux. Je restais commis aux pièces pour lui. Il m’assurait que je n’avais plus à travailler, mais je ne voulais pas devenir ce que mes parents voulaient que je sois. Une bonne petite épouse docile à la maison. Je développais une forme de sarcasme qui m’était propre. J’écoutais mon mari parler alors que je me prélassais sur le bord de la piscine. C’était la belle vie. Nous recevions des Irons à la maison. Les choses ne pouvaient qu’aller bien. J’avais vu plus de strip-teaseuses défiler devant mes yeux en étant avec Rob depuis un an que certains hommes dans une vie entière.

Le soir de mon vingt-troisième anniversaire, je me retirais des invités pour me rendre dans notre chambre. Je sortais alors mon vieux sac-à-dos et mes vêtements de la communauté. Rob arrivait silencieusement dernière moi et replaçait mes cheveux derrière mon épaule. Je me retournais alors qu’il me demandait ce que c’était. Là, je lui déballais ce qui c’était produit. La communauté Amish, les règles strictes, la place de l’Église, le mariage arrangé et le meurtre de mon cousin. Sa seule réponse fut simple «Tu vas brûler toute cette belle merde! Amène ça dehors.» J’étais sous le choc. Je l’entendais prendre un vieux baril de bière vide en fer et le mettre dans la cour arrière. Les gens présents pensaient à un feu de joie, mais c’était plus que ça pour moi. Rob me faisait signe de balancer mes choses dans le baril, ce que je faisais avec ma bible de poche que j’avais gardé. Il vidait ensuite de l’essence dans le baril avant de me donner les allumettes. Je craquais l’une d’elle sans me poser de questions et je la jetai s sur l’essence. Le bruit fut intense tout comme la combustion. Je regardais mon enfance et une grande partie de mon adolescence brûler sous mes yeux et cela ne me dérangeait pas du tout. C’était même un soulagement. J’ai bu comme je n’avais jamais bu ce soir-là. J’ai même pris de la coke pour la première fois sur la table du salon avec d’autres régulières de Irons beaucoup plus âgées que moi. J’étais la benjamine mais j’avais l’étoffe de plus.

Parce que parfois, ça devient vraiment de la grosse merde …

Ah l’été 2007. Mon mariage se portait bien malgré quelques engueulades comme de nombreux couples. J’étais fière d’être la femme de Rob et son soutient à la maison. Je m’amusais au garage avant de finalement ressentir un besoin que je n’avais eu avant. Je voulais un enfant avec mon mari. Robert n’était pas très chaud à l’idée. Il avait déjà 57 ans et il allait plus vers la tombe que le reste. Un soir alors que nous profitions d’un moment seul ensemble, il me sortait qu’il était d’accord, mais se sera un seul enfant. J’étais de bonne humeur et je cessais la pilule le mois suivant. Je mettais trois mois à tomber enceinte. Je me sentais bien dans cet état contrairement à d’autres femmes. J’avais de l’énergie, aucune nausée et une libido qui rendait Rob complètement fou. Plus les mois avançaient et plus je devenais comme une de lune ambulante. Je bossais quand même avec le sourire. Nous avions même préparer la chambre pour notre petit garçon. Car oui, c’était un petit garçon qui se cachait derrière toute cette proéminence horrible qui déformait ma silhouette de rêve.

Je devais accoucher le 24 juin. Rien d’exceptionnel et j’arrêtais de bosser trois semaines avant à la demande de mon médecin. Rob avait, pour sa part, pris l’habitude de traîner son téléphone avec lui même lors de ses réunions de Irons. Il ne voulait pas manquer ça et c’était compréhensible. Il était tendre sous son coeur de gros dur. J’étais sans aucun doute la seule à le voir ainsi cependant. J’étais donc assise devant la télévision lorsque je caressais mon ventre. Il était près de 22h00 et mon Iron favori était avec les siens à faire je-ne-sais-quoi. Ce n’était pas de mes affaires de toute façon tant qu’il ne ramenait pas de la merde à la maison. Là, je levais toujours le ton. Je remarquais alors quelque chose, mon bébé ne bougeait pas comme il le faisait d’habitude. Je fronçais les sourcils et j’appelais à la maternité. On me conseillait de boire un jus de fruit avec quelque chose à manger et me coucher sur le côté gauche et d’être attentive et de rappeler au besoin. Je faisais ce que l’on donnait comme instruction mais … rien. Pas de mouvements, pas de coups et pas de gargouillis étrange. J’appelais Rob tout de suite et il venait me chercher à la maison. Il ne parlait pas durant le trajet. Son regard fixait la route en me tenant la main.

Là, nous avons vécu le pire ensemble. Nous avons entendu le silence alors que nous aurions dut entendre le coeur de notre fils. Il était décédé. Pourquoi? Personne n’était capable de nous répondre. J’ai simplement vu Rob sortir pour téléphoner à quelqu’un. Il demandait ensuite des tests de toxicologies au médecin pour savoir si j’étais sobre. Je me sentais trahie dans une certaine mesure, mais il devait vérifier que je n’étais pas coupable… Le test revint négatif. Je n’étais pas en cause. L’accouchement fut totalement horrible. Horrible dans le sens que le silence qui régnait n’avait rien d’apaisant. Il était lourd. Notre fils était donc né le 15 juin 2008 à 09h14 sans le moindre son. Nous avons grandement pleurer ensemble. Le petit avait des nœuds dans son cordon ombilical. Le hasard… Je l’avais dans le cul le putain de hasard merde! Nous sommes rentré chez nous avec mon ventre vide. Rob devint alors dans une colère monstre et réduisit la chambre de notre fils en morceau. Je le laissais faire avant d’appeler son meilleur ami pour qu’il vienne le soutenir. Nous l’avons fait incinérer quelques jours plus tard avant de tenir une cérémonie à la maison. Son urne minuscule étant sur le rebord de la cheminée depuis. Nous n’avons jamais reparlé d’avoir un autre enfant trop blessé par la mort de ce dernier.

Et c’est encore la putain de merde!

Les Irons étendaient leurs emprises et moi, je faisais ce que j’avais de mieux à faire : je bossais, je cadrais des régulières et les filles qui faisaient de la merde et je baisais mon mari quand il rentrait. J’avais changé depuis la mort de notre fils. Certaines femmes me qualifiaient carrément de «bitch» mais je n’en avais rien à foutre. Je n’étais pas dans ce monde pour faire des amis de toute façon. C’est après neuf ans de mariage, que Rob trouvait le moyen de se faire tuer dans une attaque contre autre planque. Cet imbécile avait joué au con avant de crever d’une balle dans le ventre. Comment je l’ai su? C’est Crom Martigan qui était venu m’annoncer qu’il était mort. J’ai hurlé comme une malade. Je l’aimais mon vieux Wallace même s’il était con, grincheux et ultra chiant à cause de son âge parfois. Je devenais veuve et j’héritais de son magasin concessionnaire de Harley-Davidson. Je tombais avec une tonne d’employés à ma charge et je comprenais mieux pourquoi il avait insisté après la mort de notre fils pour que je reste avec lui et l’aider à diriger comme secrétaire. Il y avait la section garage, la section pièce et la section vente en plus de la boutique d’accessoires. Rob avait également pensé à ma laisser la maison avec du fric. J’avais au moins la chance d’avoir un toit sur la tête.

Je suis allée le voir pour lui parler là où les Irons Brotherhood avaient décidé de l’enterrer. Je l’avais engueuler pour avoir été imbécile avant de repartir avec Crom. Je n’ai malheureusement pas eu la chance d’y retourner. Je suis tombée un peu trop dans l’alcool et la marijuana pour masquer mon chagrin. Je n’avais jamais été alcoolique, mais disons que j’avais besoin de palier mon deuil comme je pouvais. Je prenais même de la coke. Un soir novembre 2013, j’étais un peu à l’ouest dans un bar. Bon … Un peu étant un mot vachement doux pour évoquer à quel point j’étais torchée. J’ai frappé une fille solidement avec une bouteille en pleine gueule. Ils ont dut nous séparer et appeler les flics. Là, je suis tombée dans la merde direct. J’avais de la marijuana et de la coke sur moi. Accusations pour voies de fait ayant entraîner des lésions et possession de stupéfiants. On m’amenait directement en prison. Ils savaient que j’avais encore des liens avec les Irons Brotherhood, mais je ne disais rien du tout. C’était pas de leurs putains d’oignons merde!

Le San Diego County Women’s Detention Facility ou comment devenir temporairement lesbienne pour se sauver le cul.

Ah le SDCWDF, plus connu sous le nom de : putain de grosse prison de merde. Je devais avouer, l’uniforme orange n’était pas très saillant à mon teint. J’en avais pris pour dix ans. Dix ans à me faire chier derrière des barbelés pour une connerie. L’avocat Sanderson tentait de faire réduire ma peine, mais je devais me montrer sage. Vous savez c’est quoi le putain de problème avec les prisons pour femmes? Bon, c’est une prison, c’est violent et tout mais le soucis … C’est que plus tu es un bombasse, plus tu as des chattes en chaleur qui cherchent à te faire plaisir en échange de petites faveurs sexuelles. Il faut choisir avec soin cependant. Aller dans le mauvais clan peut amener d’énormes conséquences comme chez les clubs.

Je m’étais donc mise en tête d’avoir la sainte-paix alors je bouffais des chattes mais pas n’importe lesquelles : celles qui avaient de la valeur. Une fois que l’on a compris le principe s’était assez facile. J’ai même eu droit à des petits plaisirs, mais le vrai fun était le pouvoir et rien d’autre. Crom venait me voir de temps à autre. C’était lui qui avait pris la place de Robert j’en étais contente. C’était pas un putain d’imbécile ce mec et les Irons avaient besoin d’un bon leader. Ed Nolan était venu me voir aussi à l’occasion avant qu’il ne rentre lui-même en taule. C’était la période visiblement. Sanderson devait être aux anges pour faire autant de fric. C’était du fric facile pour lui en quelque sorte.

Je me suis rapidement forgée une solide réputation à la prison. Là-bas c’était tuée ou être tuée. Je ne voulais pas être de celles qui se cachaient sous les draps. Bien sur, c’était plus facile car j’avais du fric qui entrait quand je le voulais. Suffisait d’un coup de téléphone lorsque c’était nécessaire. À la fin de mon séjour en novembre 2019, certaines filles ont tenté de faire passer un meurtre sur mon dos. Manque de chance, c’est l’une d’elle qui est morte à cause d’une fourchette de plastique dans la jugulaire gracieuseté un de mes larbins. Les prisons pour femmes violentes? Quasiment autant que celles des hommes. Il ne faut jamais sous-estimer une femme qui a pratiquement tout perdu. Nous devenons des tigresses en mode survie. J’étais heureuse de sortir au final. Dès que je mettais le nez dehors, je fermais les yeux en prenant un bon bol d’air frais avant de voir une moto arriver pour venir me chercher. Je montais derrière le prospect qui me ramenait chez moi. J’étais de nouveau libre … Enfin, en dehors des contrôles de merde avec mon contrôleur judiciaire qui reluquait plus mon cul qu’autre chose.

Viva Las Vegas ou comment dépenser trop de fric pour rien

Le retour à la vie normale n’avait pas été facile. J’étais resté chez moi durant deux mois à tenté de retrouver un certain équilibre. J’avais toujours peur que quelqu’un me réveille pour un contrôle ou ce genre de chose. C’était vraiment de la merde et je ne pouvais pas m’amuser comme je le souhaitais à cause de mon contrôleur judiciaire. J’obtenais cependant enfin ma liberté complète après qu’il ait tenté de m’obliger à lui sucer la queue pour éviter une remarque dans mon dossier. Disons que d’avoir un couteau de poche sur les testicules alors que je lui mordais le gland a été plutôt dissuasif. Je n’étais pas une minette de dix-neuf ans qui sortait de prison. Je savais me défendre.

Ma liberté était ainsi acquise. J’avais, bien sur, un casier judiciaire, mais je m’en fichais pas mal. Le pays était grand et je pouvais sortir comme je le souhaitais. Je décidais donc de laisser encore un peu mes affaires à Crom le temps de prendre un peu de temps pour moi. De toute façon, je gérais mes affaires à distance pour le reste, il pouvait bien arrangé les choses comme ça lui plaisait je n’en avais rien à foutre. Je décidais de partir pour Las Vegas. Pourquoi Vegas? Parce que j’avais envie de profiter de la vie et de ses opportunités. J’ignore si j’ai réellement été sobre durant le mois où j’ai été là-bas. Quelques heures dans une journée sans plus. J’ai cumulé le sexe avec quelques types dont des Irons Brotherhood qui me donnaient envie. Le plus marquant fut un nomad qui semblait aussi triste qu’une pierre. J’avais pris mon pied avec lui mais les souvenirs de cette soirée et même de son visage restait nébuleux. Un joli garçon qui en avait une assez grosse pour me faire oublier la prison des dernières années. Rien de plus, rien de moins.

J’étais donc sur la fin de mon séjour lorsque j’avais vent de cette histoire concernant le doigt d’une pute du El Fuego retrouvé au Redwood dans un joli paquet. Les choses commençaient à se corser à San Diego et je sentais qu’il était grand temps de rentrer chez moi. J’avais suffisamment fait la fête comme ça. Comment j’ai su pour la merde? J’étais au bar appartenant aux Irons Brotherhood de Las Vegas lorsque Edward Nolan avait appelé pour demander de l’aide. Certains ont la langue bien déliée après quelques verres. J’arrivais donc en ville en étant assise derrière un Iron musclé avec les cheveux dans le vent. Il me déposait chez moi alors que j’envoyais un message texte au président du club de motard pour lui signifier que j’étais de retour. Simple politesse tout simplement.

Je me lavais et je me préparais pour aller ouvrir le Wallace Harley Davidson. J’arrivais en moto et j’allumais les lumières. Je souriais en coin en voyant les motos neuves, la section de goodies divers, le comptoir pour les pièces et la section garage. L’odeur d’essence et le bruit qui me faisait vibrer et surtout, la photo de Rob sur le mur derrière le comptoir de pièce. Je posais un baiser sur mes doigts avant de toucher la photo avec douceur.

- Je suis à la maison bébé … Tu m’as manqué.

 
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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 0:29

HEY toi !!! Enfin te voilà Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever 3222707448 :kiss: :l:

Superbe fiche et superbe personnage et hâte de te voir te lancer irp bella Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever 4232351257
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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 0:31

Merci ma chérie. J'ai bien hâte de te croiser
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Gabriella Vasquez
Gabriella Vasquez




Choisir son camps : Chicanos

Avatar : Emily Didonato
Copyright : Avatar by Me
Statut civil : Célibataire
Occupation : Etudiante en médecine urgentiste et légale / Mannequin lingerie et sous vêtements
Age du perso : 27 ans ( 23 Octobre )


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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 0:42

Tu es des nôtres




Oh là là ça promet ça mdrrrr hâte de la voir jouer sur le forum Very Happy A très vite en rp !

Bravo à toi d'être arrivé jusqu'ici. Maintenant, tu peux poster, t'amuser et surtout faire évoluer ce personnage. Mais pour cela, je vais te donner deux trois liens importants dont tu pourrais avoir besoin

La saison 2 ( Au cas où tu ne l'aurais pas déjà lue )
Les nouveautés et les annonces
Les tops sites
Les scénarios et préliens
Tous les bottins
Liens et rps
Le karma ( Important si tu aimes jouer )
Les téléphones ( Attention, pas de téléphone privé par perso )
Instagram

Crédit de la fiche @ Babs
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Aaron Winchester
Aaron Winchester




Choisir son camps : Neutre

Avatar : Jeffrey Dean Morgan
Copyright : @Babs
Statut civil : Célibataire
Occupation : Producteur de Musique et ancien flic


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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 1:10

re bienvenue avec ce perso Cool

Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 1:13

Salut beau poivre et sel. On va devoir discuter ensemble je pense bien Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil
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Ellen R. Jenkins
Ellen R. Jenkins




Choisir son camps : Irons Brotherhood

Avatar : Lena Headey
Copyright : Avatar: Lyra Gifs: Cam / Anya + Redrum Em
Statut civil : Célibataire mais son cœur commence à s'emballer dangereusement pour un biker
Occupation : Médecin Urgentiste au Scripps
Age du perso : 39 ans


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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 6:54

:hi: re bienvenue avec cette magnifique brune :muchlove:
He he y aurait il de la amour dans l'air Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever 953050920 en tout cas ça ferait un beau couple :P
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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 10:58

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MessageSujet: Re: Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever Sydney Wallace - Bitch one day, bitch forever EmptySam 2 Jan - 11:30

De l'amour? Ha non non non! Vous méprenez pas!!!!
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